Douleur du coeur [pv Taki] [NC 18 attention]

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Kalim avait été raccompagné par Alex chez lui après les révélations du bar, sur sa nature et ce que tout cela imposait. Il y avait de quoi perdre la tête mais ce qui blessa encore plus le chien des enfers fut la réaction de son amour, Taki. Ca lui avait déchiré de le voir le rejeter de la sorte en entendant la vérité, comme si ce qu'il été avait une vraie importance. Mais Kalim restait Kalim rien d'autre.

Le barman peut de temps après avoir été ramené quitta son clapier, sous la pluie, pour rejoindre le puits, une vie sans son démon du feu n'était pas une vie et Kalim avait eu vraiment la sensation de s'être fait jeter par l'homme qu'il aime. C'est ainsi qu'il prit la décision de se livrer lui même pour empêcher Alex d'avoir des problèmes et ainsi peut-être qu'il n'aurait plus de souffrance, il n'aurait plus aussi mal qu'à cet instant.

La pluie ruisselait sur son corps alors que sa mine était des plus triste, il ne pouvait plus vraiment réfléchir clairement alors qu'il était inexpressif. Les rues semblaient d'ailleurs déserte car les gens ne voulait sans doute pas se mouiller. La fraîcheur de l'eau semblait encore plus chaude de la froideur de son cœur brisé à cet instant.

Il s'approchait de la grande place et du puits là où il fallait livrer le Cerbère, il n'y était encore pas et n'avait pas l'impression d'être suivi ce qui était étonnant. Il aurait cru qu'Alex l'aurait intercepté avant mais rien, agrandissant un peu plus le vide de son être mais il ne serait pas seul bien longtemps cependant il ne le savait pas encore.

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Je n’ai jamais autant aimé m’être acheté ma médaille de vitesse que se jour là. Peut être m’emportais-je, peut être qu’il était bien sagement chez lui, installer en boulle dans son lit… ou peut-être en train de se faire consoler par un lapin. Je crois bien qu’à cet instant, s’il retrouvait le sourire dans les bras d’un autre, je ne lui en voudrais même pas. Apres tout, n’étais-je pas le responsable de ses larmes ?

J’avais décidé d’aller au puits pour être sur qu’il y était pas, et si c’était le cas, remonter la route jusqu’au lapin. Nos quartiers étant dans deus sens opposé, je savais que je ne le croiserais pas jusqu’au puits. Une fois là-bas, les inscriptions et le chant encore présent me rassurèrent sur le sort de mon lapin. C’est du coup en marchant que je prenais le chemin de leur clapier avant d’apercevoir au loin une silhouette que j’aurai reconnu entre mille : Kalim. Utilisant de nouveau la vitesse, je lui rentrais dedans au point de le faire tomber en arrière avec moi.

Nous voici là, sur le chemin du puits, mon tendre amant coucher dos a terre, moi par-dessus lui, tout les deux trempés jusqu’au os. Je hais la pluie, sa ruisselle sur le visage et le corps comme un millier de larmes, ça te colle les vêtements à la peau, s’est frais, froid et mouillé, et en plus, c’est de l’eau. Bref, j’en ai horreur. Sur le visage de Kalim en revanche, elle semblait bénite cette pluie. Chaque goutte me faisait penser à un diamant sur sa peau rosé. Si je réfléchie, je ne l’avais jamais vu tremper mon amant, si ce n’est par la sueur de nos ébats. Je le trouvais encore plus beau comme ça.

Bon, je n’allais pas rester là, planter, tremper, l’observant en servant de pseudo parapluie à une partit de son corps. Il devait attendre que je dise quelques choses… ou peut-être préférait-il que je ne parle pas. Vu les bourdes que je fais en se moment, ce ne serait pas étonnant. Le silence pourtant ne me paraissait pas la meilleure solution. Que lui dire ? Tel était la question.

« … Kalim… »

Réfléchis, réfléchis, réfléchis… pour une fois, évite de dire des bêtises Taki !

378 mots, 5 rubis

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Kalim était presque arrivé à destination mais il ne parvint pas jusque au puits car voilà que Taki le percuta de plein fouet. Taki son Taki ? Il était là donc il était venu pour lui. Le chien des enfers était là allongé au sol avec le démon du feu sur lui. La pluie continuait de tomber et il était sortir alors qu'il détestait ça, il avait fait ça pour lui. Il le fixait de ses yeux inexpressif qui pour le coup montrait de la tristesse mais aussi de la surprise de le voir ici. Il était content en tout cas qu'il soit là. Qu'il soit venu.

« Taki.... »

Il ne disait pas grand chose tous les deux, Kalim avait l'impression que son homme réfléchissait, il ne voulait sans doute pas aggraver la situation actuel. Avant de se séparer tous les deux le barman avait eu la sensation de s'être légèrement fait largué par le chef des peines pourtant il se trouvait bien ici pour lui et pour personne d'autre c'était certain.

Kalim vint poser sa main sur la joue de son homme pour la caresse en chassant quelques gouttes d'eau qui furent immédiatement remplacées par de nouvelles.

« Tu es venu pour moi... »

Une question muette mais bien réelle mais il connaissait déjà la réponse le gros toutou mais il voulait l'entendre, il devait l'entendre. Surtout au vu de ce qui venait de se passer plus tôt au bar. Il avait besoin d'être rassuré, il voulait entendre c'est trois petits mots, sentir ses bras l'enlacer le caliner l'aimer. Ne pas se sentir rejeter à cause d'une nature qu'on vient seulement de découvrir. Après tout vampire ou Cerbère Kalim restait lui même mais quand Taki avait agit comme il l'avait fait cela avait blessé le barman plus que tout car on aurait dit que le démon n'aimait pas Kalim pour lui mais pour autre chose. Comme s'il ne comptait pas pour lui et pourtant le voilà qu'il était là sous la pluie pour le Cerbère.

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Je posais ma joue légèrement contre sa main quand il vient caresser ma joue. Loin de se calmer, j’avais la désagréable impression qu’au contraire, la pluie s’accentuait, mais hors de question de bouger de là. A sa petite phrase, je répondais sérieusement, mon regard ne quittant pas le sien :

« Pour qui d’autre ? Tu sais très bien qu’il n’y a qu’une personne qui à de l’importance pour moi ici bas, au point que je m’en trempe la peau et les os. »

Je pris sa main dans la mienne, tendrement, pour venir la glisser son mon torse, là ou mon cœur bat, encore un peu vite à cause du chemin parcouru en courant. Je laissais la sienne ici avant d’enlever d’une caresse les mèches trempés qui rayée de rouge et de noir son beau visage :

« J’ai agis comme un idiot, un imbécile, un cornichon… j’aurais… j’aurais du te prendre dans mais bras et te rassurer mais j’étais tétanisé, j’ai eue peur que la seul personne que j’aime ne soit que un masque pour cacher le cerbère. »

Rapprochant mon visage du sien sans l’embrasser, je rajoutais :

« Ne vas pas là-bas, je t’en pris. Je te raccompagnerais, je me ferais gardiens de ta journée et de tes nuits, je t’inviterais au restau, je t’emmènerai faire les boutiques, j’éviterai la guerre pour éviter tes larmes, je serais un amant fidèle et aimant et tout aussi brulant, et même, si tu le veux, j’arrêterais les punitions et les jeux plaisants, mais s’il te plaie Kalim, ne va surtout pas là-bas… »

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Kalim restait sous lui à savourer son contact sur sa peau, il sentait son cœur battre alors que sa main avait été posée sur sa poitrine. Il battait vite, très vite, sans doute à cause de sa course. Les paroles que prononça Taki firent plaisir vraiment à Kalim qui lui sourit, le voir s'excuser et faire toutes ses promesses lui réchauffèrent le cœur Il se redressa légèrement pour l'embrasser de plus belle.

« Je prends note de tout cela... ce que je veux c'est être avec toi, une vie sans toi n'est pas une vie et ça n'a aucun intérêt pour moi...Je veux découvrir ce que ça fait de manger avec toi, faire les boutiques...je ne veux pas que tu poses tes yeux sur quelqu'un d'autre ...je veux être le seul que tu regardes de cette façon...Je n'ai jamais porté de masque...pour moi ma vie a commencée sur la plage...il n'y a rien avant... »

Kalim l'enlaça pour se blottir alors que la pluie tombaient de plus en plus fort. Il savait que le chef des peines détestait l'eau mais il était là, il avait affronté l'eau. Il ne le lâcha pas et s'agrippa en lui sans le lâcher, il ferma les yeux avec amour.

« Je t'aime Taki il n'y a pas d'autre mot pour décrire ce que je ressens pour toi »

Le chien des enfers le fixa et lui fit un sourire car il l'aimait vraiment y avait pas d'autre mot. Ca pouvait paraître romantique et surfait mais c'était réaliste, il n'y pouvait rien. L'amour existait bien en enfer et il serait prêt à donner sa vie pour Taki

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Je récupérais avec plaisir son baiser entre mes lèvres, ne perdant aucun des mots qui sortit par la suite des siennes. D’un coup, je me retrouvais enlacé, un Kalim blotti contre mon corps et qui me dis qu’il m’aime, me fixant de ses yeux de sang. J’en souris. Je ne sais pas si il le sait, mais j’aime quand il me dit ça, ça me fait vraiment plaisir.

Je l’embrasse. Un simple baiser sur les lèvres, puis un autre, plus langoureux. Dommage que j’avais froid et qu’il pleuvait, j’aurais bien profité de ce petit moment pour lui prouver tout mon amour dans le cas contraire. Tient, d’ailleurs, si moi j’avais froids, je n’imaginais même pas pour lui. Je venais glisser mes mains sous ses vêtements, coller mes bras contre sa peau et l’enlaçant, je le réchauffais par ma magie. Doucement, je lui demandais alors :

« Dis mon petit cœur, si tu m’aime et que tu sais que je t’aime…. »

Je lui fis les gros yeux et râle :

« Pourquoi diable vas-tu la ou on t’a interdit d’aller en m’obligeant du coup à me tremper les os, à te rattraper, à ignoré le meurtre, la violation de domicile et le baiser d’Alex à Morgan, et pire encore, a m’empêcher de dodo sur mon fauteuil près du feu ? »

Bon, je râlais un peu, oui, mais je haïssais vraiment l’eau, bien que la fin de ma phrase fût une taquinerie. Ça me déranger pas du tout d’être réveiller ou empêcher de dormir si c’était pour Kalim. Posant mon front trempé et dégoulinant d’eau sur le siens, reprenant un sourire tendre, je l’excuser tout de même :

« Tu as vraiment de la chance que je t’aime à en mourir tu sais… »

Ba oui, être mouiller, c’était comme mourir… bon, je rigolai là, n’empêche que je lui donnerais ma vie a mon vampire… heu…mon cerbère plutôt. Et voilà que je l’embrassais de nouveau, sensuellement, le serrant davantage contre moi. Mon petit Kalim, si tu voulais encore te rendre au puits malgré tout, là, il te faudrait me passer sur le corps.

353 mots, 5 rubis

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Kalim resta allongé sur le sol alors que la pluie continuait de faire rage, Taki lui faisait la moral sur le fait qu'il voulait se livrer. Le chien des enfers restait silencieux sachant très bien qu'il méritait cette remontrance mais il avait eu le cœur blessé par les actes de son démon et quand on est blessé et bien on fait des choses stupides. Kalim l'enlaça à la dernière le je t'aime à en mourir car pour lui aussi c'était la même chose. Il l'aimait à en mourir et ça faisait très mal d'ailleurs par moment surtout lors des disputes.

Le barman sentit les mains du chef des peines se faufiler sous son haut dans une caresse chaude pour le réchauffer ce qui le fit frissonner surtout. Il embrassa Taki alors qu'une chose inattendu se produisit, il ne savait pas du tout comment il avait fait mais sa queue de Cerbère montra le bout de ses poils et d'ailleurs il n'en avait pas qu'une mais trois. S'il y aurait pu y avoir encore un doute sur la nature de Kalim à cet instant il venait d'être complètement dissipé . Elles remuaient sur le sol toutes les trois se retrouvant rapidement trempées à cause du déluge qui était en train de tomber en quantité.

Kalim était d'embrasser encore et encore son démon cherchant toujours plus sa chaleur et le contact de sa peau. Heureusement en tous les cas que les lieux étaient dessert sinon ils auraient pu avoir des soucis surtout avec ce que Kalim venait de dévoiler sans trop savoir comment.

« Je t'aime à en mourir aussi. »

Oui tous les deux s'aimaient et quand on aime on fait des bêtises. On peut aussi faire des trucs bien con mais on peut aussi compter l'un sur l'autre. En tous les cas le Cerbère aimait une chose : être dans les bras d'un démon du feu nommé Taki.

318 mots, 5 rubis

J’étais bien là, dans ses bras, que tout les deux au milieu de la rue. Bon, bien sur, y’avait toujours cette foutue eau qui tombais du ciel, le grondement de l’orage, les éclairs qui tombaient au loin, mais sa passer comme du couteau dans un beurre grâce a ses petits mots. Je sentis les queues avant même de sentir l’odeur : elles remuaient, trempé, chatouillant de leurs poils toutes surfaces qu’elle croisait. J’en comptais trois, noirs à poil rouge.

« Kalim… rentre ça, imagine si quelqu’un passe ! »

Bon, vous aller me dire, y’a que nous pour être dehors sous ce temps et à cet heure là, mais bon. Je pris mon barman pour le retourner sur le sol et tentaient de les rentrer, ses vilaines queue, au moins dans son pantalon mais elles étaient joueuses et vicieuse je pense car des qu’une était rentré, une autre s’enfuyait de nouveau hors du vêtement. Elles bougeaient bien trop.

Ah, ma patience a des limites ! Bon, je sais, si tu ne sais pas comment tu les à sortit, tu ne sais pas les rentrer, pas la peines de me le dire, j’ai entrainé bien des fois Morgan, je connais le truc. On va essayer les menaces tient, peut être que la peur va les faires disparaitre ?

J’attrape la base commune des trois queues – parait que c’est sensible d’après mon bras droits… sensible de genre ça fait mal ou ça fait du bien ?- et vient lui mordre la nuque, pas au point de l’en faire saigner mais de quoi sentir les dents tout de même. D’un grognement je lui dis alors :

« Range moi ça ou je te torture. »

Ça a pas du tout le ton de la menace à y réfléchir… je suis incapable de le menacer mon barman. Surtout que je ne précise pas la torture…

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Voilà que les trois queues de chien des enfers faisaient des siennes, elles remuaient en tous sens trop heureuse d'être de sortie, ou simplement pour montrer le fait que le barman était content d'avoir son Taki ici avec lui. Ce dernier qui directement lui demanda de les ranger mais comment faire, il ne savait même pas comment il les avait sorties.

« Je ne sais pas comment faire mais tu t'en doutes. »

Mais pas le temps de vraiment parler qu'il se retrouvait retourné avec un démon du feu qui essayait de dissimuler les trois queues dans le pantalon de Kalim. Cela donnait une scène amusante à voir d'ailleurs car ces petites coquines ne voulaient pas rester en place et trouvaient toujours un moyen pour ressortir. Cela fit d'ailleurs sourire le cerbère qui se retint de rigoler alors que le voilà qui tentait la méthode domination et menace, pas sûr que ça marche beaucoup mieux. Kalim pouvait sentir ses dents sur son cou alors que voilà que la base de ces queues étaient entre ses mains ce qui provoqua une étrange sensation dans tout les corps du barman qui se mit à rougir. Les queue se calmèrent mais ne restèrent en place se mettant à caresser doucement le chef des peines comme une invitation. Cette zone avait toujours été sensible chez les animaux et Kalim à cet instant se rendait compte à quel point. Sa respiration s'accélérait doucement.

« Je suis pas...sûr que ...ça marche là tu me donnes surtout envie d'autre chose... »

Décidément Kalim allait devoir apprendre à contrôler son nouveau côté animal et ça ne serait pas facile mais il était sûr que Taki allait l'y aider avec grand plaisir. Car il ne fallait pas l'oublier mais les canidés pouvaient se montrer extrêmement sensible à cette zone comme la queue mais ailleurs aussi et connaissant le démon du feu il se ferait une joie de toutes les découvrir les unes après les autres de ses mains et de sa langue.

333 mots, 5 rubis

Ah, vilaines queues, si elles se calmèrent, se ne fut que pour venir me caresser comme une divine petite invitation. Ce n’était pas vraiment la réponse attendu, ni celle des queues, ni celle de Kalim, mais en y réfléchissant… un sourire se plaça sur mes lèvres et j’invoquais une ribambelle de papillon de feu qui s’étala autours de nous. Les goutes qui leurs tombaient dessus s’évaporait aussitôt en laissant une fumée grisé, de quoi cacher au curieux ce qu’il se passait en son centre. Bon certes, ça arrêtaient pas toute la pluie, on recevait encor un sacré paquet de goutte, mais là, je m’en fichais. Venant lui caresser les bases de ses queues, je lui murmurais alors coquinement à l’oreille :

« Si on donnait ce qu’il veut au cerbère… peut-être qu’elles partirons d’eux-mêmes non ? »

Je venais alors lui mordre l’oreille de façon sensuelle sans arrêter mes caresses. Apres un câlin, on s’épuisent… l’épuisement devrait lui faire disparaitre les queues non ? Ce n’était pas sur mais c’était à tenter je pense, puis j’avais envie de mon Kalim moi, qu’il possède des queues ou non, et encore plus après avoir fait l’idiot au bar. D’ailleurs, en y pensant… je pris un air plus sérieux pour lui dire de nouveau à l’oreille.

« Je t’aime vraiment, vraiment, vraiment tu sais… je veux plus jamais que tu en doute. »

Bon oui je me répétais plus ou moins mais je l’aimais vraiment mon Kalim. Je n’avais jamais été aussi sérieux dans une relation… pire que ça en fait, je m’étais jamais désigner comme l’amant unique d’une relation quelconques. Même avec Lyu qui avait était ma favorite pendant bien longtemps, je ne m’étais jamais considéré en couple ou quoi que se soit du genre. Faut dire qu’avec elle sa aurait été difficile, elle est aussi joueuse et volage que moi...

309 mots, 5 rubis

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On dirait bien que les choses plus sérieuses allaient se dérouler en pleine rue à cet instant. Taki avait libéré une flaupée de papillons de feu qui les entourèrent pour les dissimuler du regard des autres petits curieux possible. L'eau au contact des flammes de ces petites créatures donnèrent une brume qui les dissimulait plutôt bien mais qui laissait quand même légèrement passer la pluie ce qui n'était pas bien grave. Kalim avait vraiment bien fait d'acheter ce sortilège et de l'offrir au démon de feu car il en faisait une très bonne utilisation à cet instant. D'ailleurs ce dernier ne se contenta pas de faire que cela car il était en train de caresser la basse de la queue du chien des enfers qui ne put retenir des gémissements de plaisir alors que des rougeurs lui montaient au joues. L'envie se faisait bien plus grande comme s'il était sensible. Puis les murmures de Taki à l'oreille du barman ne faisait qu'augmenter le désir de ce dernier.

« Oui peut-être il faut essayer. »

Puis effectivement la fatigue ferait sans disparaître ces attribues canins, sans compter qu'il sentait vraiment que le chef des peines s'en voulait pour l'incident au bar, il suffisait d'entendre ses dires pour en être convaincu et cela faisait un grand plaisir à Kalim qui affichait un magnifique sourire. Il murmure d'une voix juste assez audible pour le démon.

« Moi aussi je t'aime... alors n'en doute pas non plus »

Kalim se colla un peu plus au démon du feu pour l'exciter alors qu'il utilisa ses griffes d'ombres pour défaire le pantalon de son amant et il avait eu assez de maîtrise pour ne pas déchirer ce dernier. On pouvait dire qu'il s'était vraiment bien améliorer et qu'il était redoutable dans ce domaine, le bras droit des lapins pouvait être un adversaire redoutable mais rien d'étonnant pour le Cerbère.

Bref pour l'instant il était surtout question de plaisir et uniquement seulement. Le lapin tourna légèrement la tête vers le démon avec une expression si douce, et naïve qu'on avait du mal à croire qu'elle appartenait à Kalim.

« Montre moi encore que tu m'aimes.... »

Une invitation à peine dissimulée qui allait sans doute plaire au chef des peines

368 mots 5 rubis MT

Oui en effet, pourquoi pas essayer. Je venais lui embrasser la nuque, écoutant ses trois petits mots adorables glissés dans sa phrase avant de le sentir se coller à mon corps et ses griffes d’ombres m’enlevant mon pantalon sans le déchirer. Allons bon, avais-tu autant d’envie que ça ? Surement vu l’invitation que tu me lances avec ta jolie bouille a la suite.

Petit moment de bonne conscience, alias Sagesse : on est en pleine rue ! Qui plus est avec un Kalim à queue et sous la pluie. Heureusement, ou pas, la mauvaise conscience vient s’en mêlé : un Kalim si adorable, trempé, couché et à trois queue, tu crois que tu va en croiser souvent ?! Surtout qu’il te le demande !

Ah, fichu mauvaise conscience… je soupirais avant de sourire et de venir l’embrasser, caressant ses vilaines queue qui ne demandaient que ça elles aussi, pour lui répondre finalement :

« Je te le montrerais à chaque fois que tu le désir, d’un côté ou d’un autre… »

Bon, oui, je disais ça, mais ça m’arrangerais bien qu’il me le demande pas en pleine rue ou en publique dans le cas ou se serait a moi d’être dessous… je pense que je n’ai pas besoin de le préciser, il doit le savoir.

Je viens glisser mes mains dans son pantalon, lui enlevant tout en le caressant et en lui mordillant l’épaule avant de câliner l’endroit ou je vais passer. Etrangement, je bénis la pluie : elle mouille et agit un peu comme un lubrifiant. Enfin, ça a une moins bonne odeur et l’eau… ce n’est pas comme l’huile niveau sensation, sa sèche vite et finalement c’est comme si de rien, mais essayons de pas faire le difficile. Peut-être devrais-je quand même demander à Nexus une petite bouteille portative pour ces moments là…

305 mots, 5 rubis

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Kalim savoura le contact de son amant démon qui semblait vouloir autant que lui que les choses aillent bien plus loin sous cette pluie. Oui le chien des enfers avait complètement chauffé le chef des peines mais ce dernier ne montrait pas grande résistance au contraire car le voilà déjà entrain d'enlever le pantalon au barman tout en le caressant. Kalim poussait des petits gémissements de plaisir au caresse sur sa peau qui étaient un délice et ses queues en étaient ravies mais la suite fut encore plus agréable alors que Taki le préparait en même temps pour la suite. La phrase que lui avait dit le démon du feu avait encore plus attisé les sens du Cerbère qui ne retenait pas ses gémissements et ses couinements de plaisir.

Oui Kalim était plus qu'expressif entre les bras du chef des peines, il rougissait et son visage exprimait tout son désir et son envie mais aussi une certaine gêne de se trouver en pleine rue mais heureusement qu'ils étaient en partie dissimulé. Le chien des enfers mordilla aussi la nuque de son compagnon en utilisant par moment ses crocs et en y passant quelques petits coups de langue des plus agréable. On pouvait dire que ces deux là étaient chaud comme la braise même sous la pluie mais il ne fallait pas oublier que c'était les papillons qui dégageait le nuage de fumer et pas eux, quoi que la question aurait pu se poser.

Le barman après un moment et une fois la préparation terminé se tourna pour se mettre à quatre patte les fesses relevaient et les trois queues battant l'air alors que celle de devant était plus que dressée, heureuse des événements qui allaient suivre, de l'idée de s'unir avec la personne qui a le plus d'importance pour son corps et son âme. C'était bête à dire mais maintenant Kalim ne pouvait plus se passer de Taki comme s'ils ne faisaient qu'un

Je pourrais vous décrire en détail cet instant, ou nos corps trempé ne firent plus qu’un sous la pluie et entouré de fumée. Oui, je pourrais mais je n’en ai pas envi. Vous allez baver sur mon cerbère après et vous aurez raison, c’est un vrai petit dieu du sexe mon faux vampire.

On s’est enlacé, embrassé, chevauché, dévoré jusqu’à s’embraser encore. Que voulez-vous, je ne peux me contenir quand c’est lui et d’ailleurs c’est le seul que je finis avec des flammes bleu le long du corps. Je le laisse volontiers me mordre pour récupérer de ses brûlures, je m’y suis fait, puis j’aime ça bien que je ne le dirais jamais.

Bref, entre la vapeur des papillons et la notre, on aurait pu penser qu’il y avait un incendie… et c’est plus ou moins le cas, avouons-le, biens que sur une route pavées et sous la pluie sa paraisse des plus étrange. N’ayant plus de vers, je me suis retrouver tout nu, hors le pantalon que m’avait si délicatement enlevé Kalim avec ses griffes d’ombres auparavant, mais il gisait au loin, trempé, en attendant d’être ramassé. Les pauvres habits de mon barman aussi avaient souffert mes ses vers a lui, des que je stoppais mes flammes et mes déhanchés, firent de suite leurs travails.

Le cœur encore en train de battre a tout rompre, les muscles encore chauffés par l’effort et le membres encore dressé qui continuait a rejeter légèrement la crème qu’il possédait, je quitter le corps de mon amant pour venir voler passionnément ses lèvres, lui murmurant un je t’aime contre celles-ci sans quitter ses bras. Oui, on avait changé de position, me demandez pas combien de fois, mais sa avant fini avec un Kalim face a moi et les jambes écarté m’entourant le bassin. Autant dire qu’entre nous, ça collait…

302 mots +5 rubis par LD

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La suite des événements fut des plus ardente alors que le chien des enfers s'unit à son démon du feu dans divers position les plaisantes les unes que les autres. Heureusement que le sang de Taki pouvait le soigner des brûlures d'ailleurs sinon il serait grillé à point à l'heure qu'il est mais Kalim était parfaitement comblé. Il était venu plusieurs fois même et il sentant la semence chaude de son amant en lui alors qu'il quittait son corps, il avait ses jambes autour de sa taille et un doux sourire aux lèvres, il l'embrassa et la calina au je t'aime de son aimé.

« Moi aussi je t'aime. »

Heureusement les vers à vêtement avait déjà rhabillé le Cerbère qui en plus n'avait plus ses trois queues de sortis, il attendit que Taki aussi soit près à partir pour rester contre lui et partir au bar pour être à l’abri. La brume était entrain de se dissiper et il n'y aurait plus aucune trace de ce qu'il venait de se passer ici, la pluie allait se changer de tout laver.

« Allons nous abriter avant d'attraper mal. »

Il lança encore un sourire à son homme avec les joues rosies avant de reprendre son masque d'inexpressivité en tenant toujours la main du chef des peines.

(fin de sujet)

212 mots +2 rubis par LD

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