Blessure ou morsures? (PV avec Taki)

Invité

J'étais arrivé tôt ce matin à l'hôpital pour me faire soigner une épaule démise et plusieurs petites blessures. Mon excuse était une chute et autres petits trucs. Mais la réalité était que je m'étais battu contre 3 ou 4 gars. Et j'ai donc finit avec mon épaule en vrac, plusieurs petites écorchures et des hématomes à divers endroits. Mais bon vous verriez les autres, vous auriez plus pitié d'eux que de moi. Mais bon, là n'est pas le sujet.

Après être arrivé à l'hôpital j'ai attendu un bon moment à la salle d'attente... bien 2 heures. Après ça un médecin est venu me voir et a soigné mes blessures. Il m'a remit l'épaule en place, ce qui n'est vraiment pas agréable, je mourrais d'envie de lui arracher la face. Mais ce qu'il fit par la suite lui coûta quelques bouts de peau. Il a commencé à me toucher de manière très déplacée. Je connaissais les rumeurs sur les médecins, mais ne venant pas souvent à l'hôpital et me soignant seul, je n'avais jamais eu l'occasion de les vérifier par moi même. Mais bon, le médecin continua malgré mes avertissement, il ne voulu pas les prendre en compte... tant pi pour lui. Je lui sauta à la gorge y plantant mes dents et je lui arracha un petit lambeau de peau. Je me régala de ses cris, du sang autour du lèvre. Des infirmières et autre médecin arrivèrent et le soignèrent. Je leur lança un regard que l'on pourrait décrire comme celui d'un fou. Il regardèrent vite fait mon dossier et me replacèrent en salle d'attente que je voie un kiné pour la mobilité de mon bras, oubliant les blessures secondaires. En même temps ils n'avait pas intérêt à me toucher encore plus, et ceci ils l'avaient compris.

Mais là ça fait bientôt 4 heures que j'attends avec du sang encore plein la bouche et il est presque 16h... et je me fais vraiment chier, si ça continue je vais aller arracher quelques yeux et dents pour m'occuper, surtout que le médecin d'avant m'a vraiment foutu de mauvais poil. Et j'avoue que la seule raison qui me fait rester, c'est que je crève de mal. Je ne montre rien, je ne montre jamais ma douleur, en même temps je n'ai personne pour s'inquiéter pour moi, alors à quoi bon. Bref, s'ils ne viennent pas tout de suite, il va y avoir des blessé, voir des morts...

Nyah!:

405 mots: 2+3 Rubis obtenus (ps: 00h02, t'as perdu ^^)

Ah, nom de Diable, que j’aime mon travail : masser, toucher, palper et profiter… combien de patient sérieux aujourd’hui ? Pas beaucoup. Bien sur, ils ont tous mal ici ou là eux, ils sont sérieux quand il grimace de douleur, moi, beaucoup moins ! Si je les soigne tout de même histoire de garder une bonne réputation et une bonne clientèle, rare sont les fois ou je m’arrête là ou je le devrais. Beaucoup ne disent pas non à un petit câlin en plus, le genre de câlin qui vous donne chaud autant sous que sur la peau, et pour ceux qui ne veulent pas, il y à toujours certaines ruses, certains points à toucher qui les font vite changer d’avis. Si la majorité des gens savent que le bas ventre et la jointure des cuisses au bassin sont des zones sensibles, qui se doutent, en revanche, que deux petits points sous la cheville sont tout autant excitants ? Un petit massage innocents aux pieds et hop, ils se font avoir… Que j’aime ces gens idiots, naïfs, confiant en la médecine…

Bref, j’ai du retard, je le sais. Je ne sais pas ce qu’il y a aujourd’hui, mais des patients, il y en à plein. Je m’en fiche, je prends mon temps : je soigne, je drague, je tire un coup et je change de patient. Bon, ce n’est pas tous qui ont le droit au câlin, bien sur, je ne suis pas une bête, il me faut du repos entre deux… D’ailleurs là, il va m’en falloir. Je souris et dépose un dernier tout gentil et mimi bisou au coin des lèvres pour la demoiselle pour l’apaiser, lui faire croire qu’elle est plus qu’un jouet, même si ce n’est pas le cas. Je lui repasse ses vêtements, la laissant se rhabiller tendis que je fais de même. Pas de blouse pour moi, non, juste le dernier costume en date que je me suis acheté, celui des elfes noir. Je n’ai pas mis le collier, je hais avoir les grandes oreilles qu’il fait poussé, j’ai juste le jeans grisé-argenté, les bracelets de bras et d’avant bras et la ceinture bleu. J’ai laissé les fourreaux et les fausses épées à la maison, je n’en ai aucun besoin ici, seul ma dague ténébreuse ne me quitte pas, planter dans l’une de mes bottes, en attendant que j’en ai besoin.

Ma maison d’ailleurs… elle a bien changé depuis que je suis devenue le leader des peines, sans le vouloir vraiment. Quel idée aussi que celui qui venait tout juste de l’être vienne me menacer de ne plus toucher à ses femmes… il a fallut du coup se taper légèrement dessus et voilà que je me retrouver avec se titre que je n’avais jamais voulu. Au, bien sur, les avantages sont considérable, mais avoir tout un tas de gens qui compte sur moi, c’est chiant…

Bref, je lui ouvre la porte du cabinet, acceptant son baiser d’au revoir, ou plutôt d’a bientôt sur la joue, riant intérieurement à l’idée de la revoir pour m’amuser encore avant de sourire à la salle d’attente :

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oublié:

519 mots : 2+3 Rubis

Invité

Je n'en pouvais plus d'attendre, qu'est-ce qui retardait autant ce kiné de merde? Il glandait ou quoi? ça me faisait chier! Je vit enfin la porte s'ouvrir, mais ce n'était pas encore mon tour, il y avait encore trois clients devant moi. Je vis la nana l'embrasser sur la joue et là je compris pourquoi il avait du retard. Il baissa encore plus dans mon estime. Quand il dit suivant, je vis un jeune homme se lever pour y aller, mais là je n'en pouvais plus, je me leva alors et le fusilla du regard, il se rassit tout de suite, paniquant légèrement, me laissant très gentiment sa place. En même temps quand tu as en face de toi un gars qui a un haut et la gueule recouverte de sang et qui a le regard d'un malade mental, et que tu n'as pas vraiment grand chose dans le pantalon... il est claire que tu va pas faire le fier. Je me dirigea donc vers le Doc et le bouscula pour rentrer dans la pièce.

- Et ben c'est pas trop tôt... ça doit faire plus de 3 h que j'attends!

Oui je râle, j'adore râler. Et il n'allait pas avoir mon respect. Mais son visage me disait quelque chose. Il me semblait l'avoir déjà vu. En même temps je ne côtoie pas trop les autres. Est-ce que je me le serais déjà tapé? ou tabassé? Je me tourna vers lui avec un regard perçant, ça m’intriguait vraiment. Mais là ma tête devait être un peu effrayante, c'est là qu'on allait voir s'il avait un peu de courage, ça me renseignerait un peu sur lui. Mais au point où j'en suis, je n'ai qu'à lui poser la question. Je fis un sourire en coin genre sadique.

- On ne s'est pas déjà vu quelque part?

J'attendis sa réponse et elle avait intérêt à être bonne. Je crevais de mal depuis ce matin, ce qui m'a vraiment mit les nerfs à vif. Et du coup je me demandais s'il savait que j'avais mordu un de ses collègues. Bon ce dernier était un vrai froussard vu les cris qu'il poussait sans cesse après. Mais je dois dire que son sang m'a redonné un peu d'énergie. Pas comme un vampire hein! C'est juste que mon esprit dérangé est ainsi fait.

Je baissa ensuite mon regard sur son habillement... torse nu. Non mais franchement est-ce que l'on soigne ainsi vêtu? Je ne crois pas. J'espère que je n'ai pas face à un clown car je sens que ça va mal se finir. Et j'aimerais juste que cette journée finisse bien et que je cesse d'avoir mal. Car là je n'en peux plus et je vois rouge. Et en plus de ça je suis pas vraiment propre après m'être battu... Bref, ce doc a intérêt a assurer sinon c'est sa face que je vais arracher.

480 mots: 2+3 rubis

Non mais c’est qui se type là ? Non seulement il prend la place des autres, mais en plus, il me bouscule et râle ! Nom du diable, celui-là, c’est sur, il ne finira pas en câlin, mais la queue entre les jambes, peu importe sa race !

Avec un sourire rassurant du genre « sa va aller » pour les autre patients qui devaient attendre, je fermais alors la porte que je verrouillais. Je ne la fermais jamais à clé pour les cochoncetés, seulement quand le jouet méritait quelques coups. Bref, petit moment à l’observer, lui a sa tête de jacques l’éventreur, le sang en plus, le regard intelligent en moins. Franchement, il n’aurait pas pu se laver avant de venir ? Ne connaissait-il pas la propreté ? Et pourquoi les docs ne l’avait-il pas mieux soigné ? Ah puis zut, on s’en fiche, terminant vite fait, bien fait, qu’on puisse de nouveau s’amuser…

Petit sourire sadique sur le visage du blandinet qui me demanda finalement si on ne s’était pas déjà vue… comme si je me souvenais de tout ceux sur qui je passais ou tout ceux dont, en se moment, j’avais la charge ! Ba, de toute façon, avec cet air chiant qu’il avait, autant le rabaissait directement. C’est donc avec un large sourire que je lui répondis comme si je me souvenais très bien de tout ça alors que c’était pur imagination :

« Oui, on s’est croisé, tu rampais à mes pieds comme un petit vers de terre, tu as même était assez gentil pour t’allonger dans la boue afin que je ne me salisse pas… Tu es peut être venue dans l’espoir de recommencer ? Ou recevoir une récompense ? Dans les cas habituel, j’offre volontiers un baiser, mais tu es si crade que je ne peux même pas y songer… Dis moi ou tu log et je viendrais peut-être un soir, si sa me dis ~ »

Bon, trêve de plaisanterie, c’est d’un air plus sérieux et avec des gestes plus brusques que je lui arrachais le dossier médical des mains, avant de lui en donnait un coup sur la tête :

« C’est quoi ton problème, à toi ? »

368 mots : 2+5 rubis

Invité

Non mais il lui prend quoi à celui là?! Moi ramper dans la boue pour quelqu'un? Jamais de la vie. Ce n'est vraiment pas mon genre et je ne le ferrai jamais. Il doit vraiment se prendre pour un dieu qui arrive à séduire tout le monde. Mais le problème c'est que je ne tombe pas facilement dans les bras de quelqu'un, loin de là. Le fait qu'il ait fermé la porte à clé ne me dit pas du tout peur. Je me dit que s'il le fait c'est qu'il a peur que je m'échappe. Mais j'avoue que là en l'écoutant la colère monte doucement, ce qui fait sortir mes petites oreilles de Jack Russell... la honte. Je baisse un peu la tête, je respire doucement pour essayer de me calmer. J'ai vraiment mal et j'ai besoin de soin. Je lui répondit donc à sa première tirade de manière ironique:

- Oh... tu dois en avoir une petite pour que je ne m'en souvienne pas vraiment, à moins que ce soit toi qui ne sache pas t'en servir ce qui ne m'étonnerais pas. Et tu ne dois pas bien te souvenir de moi si tu penses que je viens chercher une récompense... je ne suis pas le genre de gentil toutou obéissant. Tu dois donc me confondre, car la personne qui me dressera n'est pas encore née.

Il m'arracha le dossier des mains, c'était le geste de trop, je le plaqua contre le mur et vint poser mes lèvres dans son cou prêt à mordre. Je glissa ma langue contre son cou et l'effleura de mes dents. Mon coude droit contre son torse pour le bloquer, le bras gauche étant trop douloureux pour que je m'en serve. J'espère qu'il n'est pas trop en forme sinon je risque de me prendre une deuxième dérouillée de la journée, mais pas grave, la douleur ne me fait pas peur.

- Mon problème? Je suis peut-être un peu trop sensible à la provocation, je perds vite le contrôle. C'est pour ça que ton collègue s'est retrouvé aux urgences après un geste déplacé. Je me demande si ton sang est aussi revigorant que le sien, mais ne t'en fait pas je suis pas un vampire, loin de là. Mais j'avoue qu'il a de la chance que je n'aie pas encore de vraies crocs. Alors je te conseil de juste faire ton travail proprement, ce qui m'évitera de t'arracher la gorge. Mais à toi de voir, si c'est ton kiff je le fais avec plaisirs dès que tu m'as remis l'épaules correctement.

Pour plus de sécurité je plaça ma cuisse entre ses jambes pour relever le genou rapidement si ce qu'il fait ne me plait pas. Étant moi même un homme je sais la douleur que ça procure de recevoir un coup dans les parties. Je perdais vraiment patience aujourd'hui, j'avais l'estomac vide, et j'avais juste bu un peu d'eau. Mais là je voulais juste rentrer chez moi, et me poser.

495 mots: 2+3 rubis

Oh, mais c’est…. Des petites oreilles de toutou ? La race, par contre, comme ça, impossible à dire, mais oui, pas de doute, un métamorphe. Mouhahahah, le genre de bête qui aboie plus que ça mord ! Super ! Presque mimi si il n’y avait pas sa réponse que je lui aurais volontiers fait avaler mots par mot jusqu’à l’étouffer…

Apparemment, que je lui prenne son dossier –ou peut être le coup sur la tête –ça ne lui plus pas vraiment. Le voilà qui me plaque au mur –cool, je peux juger sa force ainsi, enfin presque –et pose ses lèvre contre mon cou. Un petit pervers ? Petit coup de langue, oui, sensation des dents… non. Il me bloqua de coude et du bras contre le torse, s’en servant pas de l’autre. Etait-ce donc la son problème ? Avec un seul bras, il partait d’un handicap et s’attaquait à une personne dont il ignorait la force…idiot ou courageux ? Suicidaire peut-être ?

Ah ses seconde paroles, je me mis à rire enfin, jusqu’à sentir se genoux dérangeant. Ah, il m’aurait juste léchouiller et dragué comme un petit toutou, je n’aurais rien dit, mais là, pire que de me menacer chez moi, sur le territoire du clan des peines, c’était carrément dans ma salle de massage ! Oui, c’était clair, il était suicidaire !

Je posais une main sur se bras qui me retenait le torse, l’autre sur cette jambe situé au mauvais endroit. C’était le moment ou jamais d’essayer se nouveau petit tour que j’avais acquis, histoire de faire flamber la petite rébellion de se cabot. D’abord, j’utilisais se bon vieux petit sortilège de fièvre, de quoi lui donner une bonne petite bouffé de chaleur : celui là, je le contrôlais à merveille :

« Je crois qu’on à louper deux trois petits trucs dans ton dressage, le caniche. Premièrement, j’ai loin d’en avoir une petite et si tient tant que ça à savoir comment je m’en sers, sa peut s’arranger. »

Sur ceux, je me mettais à lui tenir fermement le bras, seulement avec ma force normal, autant pour l’empêcher d’avancer que de reculer :

« Deuxièmement, quand on a même pas de vraie crocs, on se tait ou l’on m’appelle monsieur, voir carrément maitre… »

Allez hop, tentons le parchemin de peau de feu ! Quoi que… ne brulait-il pas aussi les vêtements ? Vu le prix que m’avait coutait celui-là, hors de question que je tente le diable, surtout que je ne le maitrisais pas encore… Changeons de tactique du coup ! Je le retenais alors que d’un bras, créant les petites flammes au bout de mes doigts grâce à un vieux parchemin que je contrôler, lui, parfaitement et les approchait des poils de ses oreilles tout autant que de ses cheveux :

« Troisièmement, mon kiff, c’est plus de faire hurler les petit chiot. Tu sais quoi, non seulement d’être kiné, masseur et leader des Peines, je peux aussi te faire une épilation complète de tous ton corps ~ qu’en penses-tu, on tente ? »

510 mots : 2+3 rubis

Invité

Pourvu qu'il ne fasse pas trop attention à mes oreilles, c'est vraiment la honte pour quelqu'un pour m'avoir de juste être un petit toutou, vivement que j’acquière des capacités supplémentaires. Être juste un petit toutou devient insupportable et je commence a vraiment ne plus le supporter. Et le jour où j'aurais atteint une forme respectable je pourrais vraiment me battre et donner mon maximum. Mais bon s'il n'était pas bête il comprendrait rapidement ma faiblesse, mon bras gauche. J'essayais de le cacher mais là il était presque inutilisable, donc il m'était nécessaire qu'il me le remette correctement en place et qu'il fasse passer la douleur. Si j'étais quelqu'un de raisonnable je le lâcherais immédiatement et je m'excuserais platement. En faite non, je n'aurais pas agis ainsi depuis le début, je n'aurais pas resquillé ma place et au final je ne serais même pas là. Je mènerais un petit train de vie tranquille sans la moindre histoire, étant poli et aimable, serviable. Mais mauvaise nouvelle, jamais je ne serais raisonnable. Je l'écoutais déblatérer ses conneries après qu'il ai poser sa main sur ma cuisse, chose que je n'apprécie pas vraiment et qu'il ai posé son autre main sur mon bras qui le maintenait contre le mur. Moi un caniche? Quel con... il va me le payer. Et s'il pense que je vais accepter de tester sa queue... il rêve. Mais... hum c'est étrange ce coup de chaud. Est-ce la colère qui produit cet effet? Étrange, ça m'arrive rarement d'avoir trop chaud, c'est même souvent l'inverse. Je me collerais d'ailleurs bien contre le carrelage pour me débarrasser de cette sensation désagréable. Je commence doucement a respirer par la bouche pour me rafraichir comme le fait un chien, ce qui me fait souffler contre le cou du doc sans que je le veuille vraiment. J'ai l'impression que mon souffle est bouillant. Je déglutit essayant de ne rien laisser paraître.

Puis sentis une pression sur mon bras, je m'étais laissé déconcentré, je l'écouta, il se foutait de ma gueule ou quoi? Il rêvait vraiment... l'appeler maitre? Il me prend pour qui l'autre con là? Je le sentit lâcher mon bras et une chaleur intense s'approcha de mes oreilles... était-il donc un démon qui maitrise le feu? Voilà pourquoi j'ai si chaud. Il a de la chance de me maintenir la cuisse, sinon je ne garantis pas l'état de son entre jambe. Mon bras est donc de nouveau libre. Je fis un sourire en coin lui répondant.

- Je préfère juste le maillot...

Un peu d'ironie ça ne fait pas de mal non? Il ne pouvait pas voir mon regard heureusement, car mes yeux changèrent quand il m'annonça qu'il était le maitre des Peines. Voilà d'où je le connaissais. J'avais donc le chef du seul gang que j'accepterais éventuellement de rejoindre. Mais après je ne le ferrais pas si je n'ai pas confiance et là c'est mal partit, quoi qu'il a l'air assez agile, ce qui me plairait bien, ce serait un bon défis. Mais là le feu qui était proche de mes oreilles et de mes cheveux m'inquiétait grandement, je n'avais pas trop d'autre choix que de reculer, ce qui m'emmerdait... Mais je le fis quand même prenant son poignet pour que sa main ne s'approche pas plus de ma tête... le fusillant du regard. Je ne savais pas trop quoi lui dire, chef des Peines, j'étais léger sur le cul.

567 mots: 2+3 rubis

Hum, son petit souffle chaud dans mon cou, que c’était appétissant, mais surtout, ça prouvait que mes petites fantaisies marchaient. Finalement, heureusement que je retenais sa cuisse, j’aurai eu un male de chien sinon ! Mal de chien… métamorphe cabot… vous avez comprit le jeu de mot hein ? Bref, il laissa s’échapper quelques mots amusant, sa savait donc rire un chiot, le souci, c’est que moi, dès que je le voulais, je le prenais au premier degré et lui cramer les poils qui lui tourne autour de son entre jambes me paraissait bien trop amusant pour pas essayer.

Quoi qu’il en soit, il recula finalement tout en m’attrapant le poignet pour éloigner les petites flammes de ses poils. Bien, il à un minimum de jugeote, mais faut dire vraie, ses flamme là brule peu, elles ne servent pas à grand-chose si se n’est à allumer un feu. Se sentait-il pourtant en sécurité à se moment là ? Surement pas… un bras pour se défendre, déjà occupé à un poignet… Ah, se n’était pas marrant s’il n’avait pas un véritable moyen de se défendre.

Tournant le poignet pour lui attraper le siens, flamme toujours dehors qui, au passage, lui flambèrent les mini poils blanc de l’endroit, je l’attirais brusquement a moi pour le récupérer, dos contre mon torse l’autre bras se glissant furtivement autour de son cou. M’amusant à lui donné a coup de lange du cou jusqu’à l’oreille, je murmurais avec amusement :

« Tu ne fais pas le poids avec ton bras dans cette états, sale cabot, alors baisse les oreilles, rentre les crocs, met ta queue entre les pates entre tes pattes, que assurément avec toi, je ne ferrais preuve d’aucune douceur. »

Sur ceux, j’enchainais tout rapidement pour ne pas lui laisser le temps de se retourner et de mordre comme tout bon toutou. D’abord, je le mordais brutalement au cou, de quoi faire mal mais pas saigner, je n’ai pas de crocs après tout, et en partie pour le faire lâcher mon poignet (l’autre étant par simple amusement de lui faire mal). Reculant d’un pas, je chopais alors son bras bléser, lui croisant dans le dos sans aucune douceur le temps de presser quelques point de nerf avant de lui tirer d’un coup, pas pour le déboiter d’avantage, juste pour le remettre en place. Bon, comme ça, sa devais faire mal, mais tant pis pour lui, n’empêche que la, maintenant, il pouvait s’en resservir, de son bras, et comme il faut.

415 mots : 2+3 rubis

Invité

Comment je pouvais me faire avoir de cette manière comme un bleu? Je n'y crois pas, je le hais déjà, mais il mérite bien un peu respect pour son tour de passe-passe. Mais j'avoue ne pas aimer ses doigts brûlant sur mon poignet, je grogna légèrement. Je n'avais qu'une envie, lui arracher la tête. Mais la cerise sur le gâteau était qu'il m'attrapa et me colla contre lui. Je grogna un peu plus, n'aimant vraiment pas cette position de faiblesse, même si le contacte était fort agréable. Je ferma les yeux en sentant sa langue contre ma peau, si seulement il savait où j'avais trainé, bon j'avoue je me suis lavé la veille, donc j'étais pas encore trop sale pour une fois. Mais quand même, je lui arracherais très volontiers la langue en ce moment. Comment ose-t-il, il n'a pas compris ce que j'ai fais à son collègue? Mais s'il est vraiment le chef des Peines, je comprends qu'il soit doué et ça me frustre bien moi. Je l'écouta et rit doucement.

- Heureusement car je hais la douceur... je trouve ça écœurant, ces choses que l'on appel tendresse. Je préfère les gens qui vont jusqu'au bout de ce qu'il disent sans avoir peur.

Qu'est-ce qu'il croyait? Que je serais du genre fleure bleue? Le genre de personne a vouloir qu'on lui compte fleurette et qu'on le charme? Un bon toutou qui attend juste une caresse entre les oreilles? Il se fait vraiment des idées si c'était ça. J'allais réagir mais je n’eus juste pas le temps, il réagit trop vite pour moi. Je serra les dents à sa morsure mais je ne cria pas, je me retint malgré la douleur, je n'allais pas lui donner ce plaisirs tout de même. Et sans que je ne comprenne rien il fit plusieurs geste et tira mon bras, là je ne pu retenir un cri de douleur. Putain de merde! Quel sale con! Il va me le pay.... hum bon bras bouge mieux et ne me fait presque plus mal. Je fis un sourire en coin, un sourire cruel, je le fixa et lui envoya mon poing gauche dans l'estomac avant de le pousser à terre et de m'assoir sur son bassin.

- Merci pour le bras doc... mais tu ne penses pas que tu risques de le regretter? Le chef des peines, quelle bonne blague. Je le pensais plus fort que ça. Je pense que c'est le meilleur gang du moment, mais si tu es vraiment son chef, il est où ton bras droit? Ah et ne compte pas que je range ma queue entre mes pattes devant qui que ce soit mise à part...

Je me tus et me mordis la lèvre, je ne pouvais rien dire de plus, donc je ris doucement, je le respectais quand même, il avait l'air vraiment doué, mais je n'allais pas le montrer tout de même.

482 mots 2+3 rubis

Non mai non du Diable ! Même pas le temps de lui dire de faire tout de même attention si il ne veut pas finir dans mon cabinet toute les semaines que le voilà qui me fout un coup directe à l’estomac avant de me pousser à terre et de s’assoir sur mon bassin. Tout en vérifiant que je n’avais rien de plus qu’un mal normal et en remerciant le ciel d’avoir tout de même de bon abdos, comme tout les démons, je n’écoutais que d’une oreille distraite ses blabla avant de murmurer :

« Toi… »

Sourire sadique au coin des lèvres, je le chopais par le haut en lambeaux qu’il portait pour l’attirait tout prêt de mon visage :

« Je vais te flamber ! »

Tant pis pour les vêtements, je déclenchais finalement la peau de feu. Mon corps se recouvra instantanément de flamme. Insensible au feu grâce a sa, je ne ressens rien, ce qui ne doit pas être son cas. J’entends le crépiter sous les vêtements, prêt à les réduire en cendre au fur et à mesure, je n’en ai que faire, totalement absorber par le fait de ne pas lâcher si vilain toutou !

Je ne contrôle pas encore correctement ce sort là, sa se voit, parfois les flammes se font moins vives, moins fortes, d’autre fois elles le sont tellement qu’un bout s’élève pour s’échapper et faire bruler les objets alentours… Arf, faire flambé tout mon cabinet, se n’était pas prévu, en tout cas, lui, je le tien fermement, c’est d’ailleurs avec un large sourire sadique que je lui disais avec amusement :

« Tu voulais te faire le mayo ? On va s’en occuper, comme de tout le reste ! Crois moi vilain clébard, quand j’en aurais finit avec toi, ce n’est pas devant qu’une seule personne que tu va rampait, mais devant tout le monde ! »

316 mots, 5 rubis

Invité

J'aime avoir le dessus, il faut bien le dire. Le je fixa avec un regard sadique il allait souffrir! Quoi que je le sentit tirer mon haut et mon visage s'approcha du sien. Il croit quoi que je vais lui céder? Il rêve, quoi qu'il est fort et passer un bon moment serait une bonne idée. Tant qu'il s'enlève de la tête l'idée de me dresser ça me va. Je posa mes lèvres contre les siennes et glissa ma langue contre ces dernières. Un petit plaisirs de temps en temps ne faisait pas de mal. Mais bon sa menace avant le baisé ne me faisait pas peur, me flamber? Est-ce qu'il allait oser? Je ne sais pas, je pense que s'il a vraiment des couilles oui, il le fera. J'en suis persuadé maintenant, ses lèvres sont devenue brûlante je détacha les miennes en grognant de douleur sous la chaleur que son corps dégageait. J'essayai de m'enlever de sur lui, le feu n'était pas mon truc et je sentais sa peau prendre feu. La mienne brûlait au contacte de la sienne, je recula la tête pour épargner mon visage. Je ferma les yeux pour supporter la douleur au maximum et écouta ce qu'il dit. S'il croyait que j'allais ramper, il rêve!

- Va te faire mettre! Je ne ramperais jamais devant qui que ce soit! Un chien n'a qu'un seul maître! Et même devant lui je ne ramperait pas! Alors fait moi tout ce que tu veux je le supporterais, mais n'espère pas ma clémence après ça.

Dans la rue les gens qui me connaissaient me savait solide même si je n'étais pas encore vraiment puissant. Jamais je n'abandonnait et je me vengeait toujours. Mais bon étant seul je n'avais personne à protéger ou à aider et je recherchais des amis, mais comme toujours ça commençait et finissait mal. Je savait là que je venais surement de me mettre toute les Peines à dos, c'était bien ma veine. Je me demandais du coup si j'allais crever seul, comme sur terre, quand je suis mort. Personne n'avait du s'en soucier ou même le remarquer et ici qui s'en soucierait? Personne! Absolument personne! Je me mis donc à rire de l'ironie de la chose, de la situation, tout en flambant sous les flammes de Taki qui commençait à me dévorer la peau. Il ne maîtrisait pas encore son sort, je le voyais à ses flammes... Je sera les dents sous la douleurs insupportable, mais Je ne me rendrait pas, jamais de la vie! Ma fierté était trop forte pour ça. Je le fixa tout en grognant et en crevant de mal. Mes fesses chauffaient vraiment et pas de la manière la plus agréable. Je devais plus avoir de pantalons même... il allait me le payer mais pas tout de suite, j'avais trop mal pour...

- Arrête ça!

Je lui hurla dessus, j'ai quand même mes limites....

483 mots, 5 rubis

Et ça râlait, ça riait, je ne vois pas vraiment pourquoi, masochiste ? Puis ça hurlais d’arrêtait de nouveau… pour dire vraie, j’aurais voulu aussi que ça s’arrête avant que je n’ai plus le moindre bout de tissus, mais des que j’arrivais à stopper sur une partie de mon corps, une autre reprenait le relais. Comme je voulais faire genre « c’est fait exprès », je m’y concentrais pas à fond non plus… vraiment, j’allais devoir m’entrainer avec se sort…

Bref, finalement, ça se calma enfin ! Profitant de sa faiblesse provoquée par les brulures avec l’appui de mes abdos - merci les séances de musculation pour être beau – je retournais la situation à mon avantage, échangeant les places pour me trouver dessus et le toutou dessous. Mes bottes avaient aussi cramé en partit, tout comme mon pantalon, la ceinture, le caleçon… Tss, tout ça pour un sale chien qui frape quand on le soigne ! Heureusement, la dague elle, ne cramait pas. La retirant de fin tissus qui était autre fois une chaussure, je glissais la lame sombre, chauffé par les flammes sur ses lèvres :

« Un seul maitre ? Tss, je plains celui qui te possède, lui qui n’a rien demander va se retrouve puni par ta faute pour la simple raison qu’il ne tient pas sa bête de foire en laisse ~ »

Glissant la lame ensuite sur le cou avant de bien posé la lame à plat sur l’une des brulures en appuyant largement :

« Ah moins que tu ne sois un toutou errant… dois-je alors te piquer ? Ça fera toujours un déchet de moins… »

Puis je me glissais vers ses petites oreilles pour lui murmurer à l’oreille :

« … mais se serait dommage de salir encore davantage mon cabinet avec ton sang animal. Laisse reposer ton bras, entraine toi, quitte ton maitre si tu en à un et que tu tiens à lui… »

Enfonçant légèrement la pointe de la lame jusqu’à en faire couler le sang, je pris de nouveau feu pour le dissuader d’essayer de me repousser avant de terminer ce que je voulais lui dire :

« … car à partir d’aujourd’hui, tu es une cible. Tu as une semaine pour venir t’agenouillé a mes pieds, au delà, je te ferrais trouver, chasser, torturer et vider de ton sang pour remplir les poche de mes petits vampires préférés. »

402 mots, 5 rubis

Invité

Je ne comprenais pas pourquoi il ne s'arrêtait pas... qu'est-ce que ça lui apportait de continuer là? J'étais K.O j'étais à terre, je n'allais pas pouvoir lui répondre et ça me frustrait vraiment énormément. J'avais mal partout et je me laissais aller. Quelle plaie ce mec, je devais absolument lui péter la gueule un de ses quatre et lui faire payer à mort ce qu'il venait de me faire subir, mais il y avait son clan et... ah! Quelle merde voilà qu'il a prit le dessus et qu'il se retrouve au dessus de moi. Je le regardais à peine me concentrant sur mes brûlures. Je détourna rapidement la tête en sentant sa dague brûlante sur mes lèvres. Il était con ou quoi? ça faisait vraiment un mal de chien. Il la descendit et la posa sur une brûlure, je lâcha un cri de douleur me tortillant pour qu'il arrête. Rhaaa quelle connard, je grogna pour le mettre en garde. Et je l'entendis, ouai je sais que j'étais un déchet, je le fixa genre "vas-y... tue moi ça me gêne pas, je m'en fous dans le fond", mais je tenais encore largement à la vie. Je n'étais pas prêt à mourir, pas encore, loin de là. Il s'approcha de mon oreille et je le laissa faire, j'étais fatigué là et je ne voulais plus bouger. Et le pire c'est qu'il s'imaginait que j'avais un maitre... il était vraiment con ou quoi? Est-ce que j'ai l'air d'avoir un maitre si facilement? Non et il avait du le comprendre à moins qu'il soit complètement con? Ou alors il ne juge pas facilement, ce qui m'étonnerait. Et le pire c'est qu'il a dit "si je tenais à lui" comme si j'allais aimer quelqu'un!

- Je n'aime personne... et je ne tiens à personne.

Je le regarda droit dans les yeux en disant ça et sentit la pointe de sa lame s'enfoncer dans mon bras... Je lâcha un autre cri de douleur, je n'en pouvais plus. Je le fixait encore j'allais le massacrer, m'agenouiller? Jamais devant une telle ordure, si la prochaine fois que je le croise et qu'il me remet à terre là peut-être que je le respecterais. Mais il fallait qu'il y arrive, car je ne me laisserait pas faire et je serais bien plus puissant, même si là je ne me sentait pas de bouger et qu'il allait devoir me sortir de son cabinet lui même, ou alors j'allais trouver la force de partir? Je ne savais pas encore, je lui répondis juste.

- Dans une semaine? Bien, dans une semaine je te jure que ce n'est pas mon sang qui va couler...

J'allais m'entrainer et m'acheter des capacités... Une semaine c'était faisable si je trouvais des déchets à tabasser... je soupira essayant de bouger un peu malgré la douleur... il était fort et ça je le respectais.

476 mots, 5 rubis

Je souriais a sa réponse, amusé, avant de le tapoté sur la tête, entre les oreilles, enlevant de l’autre main la lame de sa chair. L’entendre crier de douleur… d’un certains côté, c’était déjà le voir a genoux, il fallait juste qu’il admette qu’il n’était pas assez puissant, mais surtout trop idiots de se mettre n’importe qui a dos, surtout un peine, et pire encore, le chef des peines. Ne devrait-il pas avoir l’instinct de préservation au lieu de l’instinct suicidaire ?

« Ne fait pas de promesse que tu ne peux pas tenir, cabot, mais va, si tu parviens à faire couler un autre sang que le tient a se moment là, je te trouverais une petite niche dans le coin et même un petit os si je suis de bonne humeur ~ »

Allongé comme ça, dans un sale état, a moitié a poil – certains tissus ,n’ayant pas été assez bruler pour disparaitre- et apparemment épuiser, c’était trop choux pour pas vouloir le garde un petit peu. Tiens, d’ailleurs, j’avais encore arrêté de bruler, mais cette fois, sans le vouloir. Vraiment, il allait falloir que je m’entraine avec se sort là…

Avec un petit sourire, je lui enlever ce qu’il restait de vêtement en tirant brutalement dessus : affaiblis par le feu, s’était aussi facile que de casser une biscote. J’en essuyais avec la lame de ma dague, avant de lui faire remarqué sa nudité un tapotant du doigt dessus une fois la dague ranger dans le peu de botte qui me rester :

« Hum, pas étonnant que tu a demandé une épilation. Je te la fait gratis celle là. »

Pas de peau de feu cette fois, je tenais au peu de lambeaux de tissu qui me restait, j’utilisais alors juste les petites flammes au bout des doigts pour lui faire, touchant au passage. Ba oui, j’en profitais, mais que voulez-vous, je suis un homme… je suis un démon.

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Invité

Je ferma les yeux, trop crevé là. Je le sentis me tapoter la tête, c'était agréable, je soupirais, ça faisait longtemps que personne ne l'avait fait. Puis il retira la lame brûlante quelle soulagement. La douleur était toujours là, mais moins intense, juste constante. Je pourrais m'y habituer, car vu les brûlures que je devais avoir, j'en aurais pour un moment, bien plus qu'une semaine d'ailleurs. Donc il osait provoquer quelqu'un, même blessé. Il était vraiment un enfoiré. Je l'entendis, sa promesse, bien sur que j'allais faire couler un autre sang que le mien. Et ça allait être un jeu d'enfant. Si je vais sur son territoire je vais croiser ses hommes et leur casser la gueule voir les tuer sera un vrai plaisirs. Je n'ai encore jamais tué de peine et bien ce sera une première alors. Mais au moins la bonne nouvelle, c'est qu'il ne dégageait plus de flamme, je n'aurai pas supporter plus de brûlure. J'avais mes limites, je n'étais pas surpuissant et j'étais loin d'être un surhomme. Et ouai j'étais conscient de devoir progresser et là une rage bouillonnait en moi. Est-ce que ça allait être le début de nouvelles capacité? J'espérais bien. Mais pas maintenant, j'étais trop fatigué.

Et je ne sais pas trop ce qu'il faisait en m'enlevant le reste de mes habits... ils en restait vraiment très peu, il avait intérêt à m'en racheter ou à me les réparer. Car je n'allais pas me balader à poil dans la rue, j'étais assez pudique dans le fond. Là je m'en foutais, je n'avais pas la force de râler même si je me demandais ce qu'il voulait faire. Puis je le sentis faire je grogna.

- Garde tes mains dans tes poches...

Et j'entendis ce qu'il dit... non mais ça va pas, j'essayais de me relever et de le repousser pour qu'il arrête, ça chauffait terriblement.

- Je déconnais putain! Arrête ça immédiatement!

Je lui grognais dessus plus pour le menacer qu'autre chose. Je n'étais plus en état de me battre sérieusement. Quelle saloperie ce démons de feu! Et je n'avais rien pour être immunisé contre le feu. Pourquoi je suis un méta et pas un sorcier ou un démon d'eau? Là je l'aurais massacrer ce connard. Mais bon j'étais content d'être un métamorphe.

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Ah, il se débattait encore, Mais sans plus aucune force… l’épilation du maillot de notre cher métamorphe, je le finissais tout de même avant de venir lui gratouillé une oreille, très doux comparer a tout a l’heure. S’il savait résister, ce petit, j’en ferrais un des miens, mais pour ça, un petit dressage s’imposer. Fouetter d’abord, soigner, caresser, câliner après, ça c’était ma méthode. Je voulais les obligé a se tenir a carreaux en ma présence, a ne discuter aucun de mes ordres, et pour ça, il fallait autant leurs peur que leur respect, en échange, ils devaient savoir que je pouvais être gentil, sage, mais surtout, très protecteur…certains diront même carrément possessif, on a apparemment pas la même définition de ma façon de faire.

Bref, je le gratouillais donc derrière l’oreille d’une main puis finalement venait lui mordiller le cou, chopant sa peau entre mes dents tout en tirant à peine, juste de quoi l’emmerder ou l’émoustiller celons ses préférence. C’était un cabot non ? Donc tous ses trucs là, ou du genre, même hétéro, il devait apprécier.

Finalement, je glissais mes lèvres à ses oreilles et murmuré tés sensuellement :

« Une semaine… Une semaine pour me montrer que tu es digne d’être a moi ou pour n’être plus que néants… Me déçoit pas, vilain chien errant, je suis sur que tu ferrais un très bon peine… »

Je glissais alors mes doigts sur son entre-jambe, un sourire amusé sur le visage :

« Et peut être même un bon amant ♥ »

Petit coup de langue à la base de l’oreille. Je trouvais sa amusant de jouer un peu. Nous étions tous les deux nus, et malgré ses blessures, il était pas mal, l’animal. Un peu de bon temps, ici, pourquoi pas non ? Après tout, qui viendrait nous déranger, avec la porte fermé ?

308 mots, 5 rubis

Invité

Ah putain la honte! Voilà qu'il m'avait épilé, non mais quel con, je le détestais vraiment là. Il ne connaissait pas l'ironie? Je déconnais. Bon au moins je note, la prochaine je ne dirais pas ce genre de chose. J'éviterais l'ironie et les plaisanteries. Et... qu'est-ce qu'il faisait là? Non mais il avait pas le droit de me gratter les oreilles. Je me retint toute réaction, je ne voulais rien montrer. Je les bougea simplement pour qu'il retire ses doigts de là. Et puis je détestais la douceur, je n'aimais pas ça. Pour moi derrière la douceur il y avait des sentiments. En tout cas personnellement je ne pouvais pas être doux avec quelqu'un si je ne ressentais pas un tant soit peut d'amitié ou d'amour pour la personne. J'étais peut-être vieux jeu, mais tant pi. J'étais comme ça et je ne voulais pas changer. Je ne voulais plus avoir de moindre sentiment amoureux, amical oui car on ne peut pas être seul éternellement et je pense que j'avais atteint ma limite de solitude.

Sa douceur me surprenait surtout, je ne l'imaginais pas comme ça. Puis je le sentit venir mordiller mon cou, je préférais ça et lâcha un petit gémissement. Je le stoppa tout de suite. Je ne voulais pas lui donner ce plaisirs et surtout je ne voulais pas lui faire comprendre que je n'aimais pas la douceur, surtout en ce moment, j'avais déjà assez mal comme ça. Puis j'écoutai son murmure. Lui montrer que j'étais digne de lui? J'allais le lui montrer ouai! Et puis être néant? Jamais de la vie! Et oui je serais un bon Peine c'est le seul clan que je me sens d'intégrer aussi.

Puis j'entendis la suite et je grogna pour lui faire comprendre de ne pas aller trop loin. Un amant? Il se prenait la tête là, jamais je ne le serais... Car c'est un engagement sentimental d'un coté, enfin il avait l'air assez libertin, donc ils ne devait pas être très attaché à ses conquêtes. Donc si ça n'engageait aucune fidélité ça irait. Je sentis sa langue sur mon oreille, je tourna la tête de coté, soupirant doucement... de plaisirs ou de lassitude? Je ne lui dis rien, l'envie n'étais pas là et puis je n'avais pas trop la force de parler et je n'en voyais pas l'utilité.

Je soupira encore ça faisait longtemps que je n'avais pas pris mon pied et entre la douleur et la fatigue je crois que je perdais un peu les pédales. Je lui attrapa brusquement la nuque et planta mes ongles dedans et le tira vers mon visage. Je posa ma bouche contre la sienne et glissa ma langues entre ses lèvres, commençant un baiser langoureux.

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Oh, cache le autant que tu veux, je l’avais entendu, ton petit gémissement quand je te mordillais le cou… je noter d’ailleurs que tu aimé ça pour m’en resservir une autre fois, sa va, j’ai plutôt une bonne mémoire pour se genre de chose. Apparemment, l’idée d’être un de mes nombreux amants plaisait moins, vu le grognement, mais il ne riposta pas plus. D’un certain côté, tu m’appartenais déjà petit…

Je le sentis m’attraper la nuque, d’un coup, enfonçant des ongles dedans, se qui me fit légèrement grimacer. Heureusement, ce n’était pas des griffes, j’aurais souffert dans se cas là. Petit chiot n’avait-il pas encore cette capacité ?

Attiré ainsi à lui, il glissa ses lèvres contre les miennes, puis la langue pour un beau petit baiser langoureux auquel je ne perdis pas de temps pour répondre. Si il croyait avoir plus, pourtant c’était raté : de un, je m’étais vidé dans la cliente d’avant, et de deux, je voulais le faire languir, souffrir, espéré jusqu’à m’en supplier. Oh, il y avait des chances que je craque avant lui, que je me faufile un jour dans son dos pour le prendre contre moi, me faufiler en lui… mais bon, j’aimais jouer, j’aimais tenter…

Au bout d’un moment, je venais glisser ma main dans la sienne pour venir l’enlever de ma nuque et rompre le baiser. Je ne lui appartenait pas, je n’était pas si facile a avoir, et pour lui faire comprendre, je serrait sa main, utilisant l’effet de la médaille de force pour bien le faire comprendre… manque de peau, cette médaille, comme la peau, je ne la maitrise pas. Si en effet ça me donna une sacré poigne, ça me lança vivement dans tout le bras. Fichu contre coup. Ça aussi, j’allais devoir faire en sorte de le maitriser.

Comme si de rien malgré l’impréssion d’avoir un marteau piqueur dans le bras, je lui léchais les lèvres :

« Relève toi et disparait, vilain chiot, ou je te jette par la fenêtre. Si ne t’es même pas capable de ramper hors de mon cabinet, je n’attendrais pas une semaine pour t’euthanasier. »

Sur ceux, je me relevais puis attrapait l’un des bocaux sur l’étagère, contenant mes vers à vêtement. J’en utilisai un pour avoir de quoi m’habiller de nouveau, ignorant le toutou comme un vulgaire tapis.

388 mots, 5 rubis

Invité

De la suite là j'avoue que je m'en fichais, je n'avais aucune force pour des ébats mais pas non plus assez pour me débattre. Je le laissa m'enlever la main et je sentis sa force étrange. Il avait donc d'autre pouvoir? En parlant de pouvoir depuis tout à l'heure je sens un truc dur sous mes fesses, j'en étais persuadé à 100% c'était ma queue qui était sortir, ma queue de chien. Il ne pouvait pas la voir et heureusement, j'essayai de la bouger sans aucun résultat. Mais bon je ne sais pas pourquoi je l'avais embrasser. Le faire chier? Lui montrer que j'étais pas qu'un mec violent? Ou juste une envie de bisou comme ça? non pas la dernière option en tout cas. C'était loin d'être possible quoi qu'il arrive. Je ne voulais pas de câlin de qui que ce soit. Certain me diraient peut-être que c'était ça qui m'avait rendu agressif avec le temps, comme les chiens errant qui mordent car ils n'ont plus l'habitude d'être touché d'un autre manière que d'être frappé ou chassé à coup de balai. Quand on n'est pas désiré on le sent tout de suite, même si les gens le cachaient un peu parfois. Quoi qu'il en soit je n'avais rien à lui prouver à ce Taki... ce chef de clan. Pourquoi d'un coup je voulais lui montrer des choses? Je ne voulais pas que ça tourne à l'obsession mais c'était mal partit. Je me redressa quand il partit de sur moi. Je l'avais écouté ouai, mais il me faisait chier avec ses surnom de merde.

Je me releva avec peine mes habits brulé, heureusement qu'il en restait encore un bout. Je le vis faire et je souris, je n'allais pas rentrer nu quand même surtout avec ma queue... ah non elle avait disparu, quelle étrange capacité. Je m'approcha de lui genre je voulais encore des calins, je suis un bon petit soumis. J'attrapai le bocal et lui pris un vers l'utilisant sur moi me reculant vivement. Enfin avec ces douleurs ce n'était pas simple mais je les ignorai. Je le fixa défiant laissant mes habits ses réparer, recouvrant mon corps blessé bien plus que quand j'étais arrivé.

- Je ne vais pas ramper, tiens toi prêt dans une semaine... à moins que tu veuilles mourir. Et prépare toi aussi a perdre quelque homme, donc ne m'en envoie des pas trop précieux à tes yeux.

Je ne baissa pas la tête. Je ne voulais pas le faire devant lui, pas encore. Pas avant que sois digne de l... non je ne voulais pas penser comme ça? C'était quoi cette merde? Je me recula vers la sortie doucement. Avait-il encore quelque chose à dire ou non? Si non je sortirai en courant et irai me trouver un endroit frais pour pouvoir m'entrainer et surtout rafraichir mes brûlures.

473 mots, 5 rubis

Non seulement sa se bagarre avec tout et n’importe quoi, mais en plus sa vol… super le toutou ! Vaut-il vraiment que je perde un peu de temps pour le dresser ? Il restera peut-être tout le temps comme ça… Rentrer nu ? Ba, il l’avait cherché, il aurait donc du se débrouiller. Apres tout, tant que ce n’est pas un peine, ce n’est pas mes affaire donc ni aide, ni protection…

Ba, pas la peine de faire se regard défiant, je ne vais pas non plus t’écarteler pour un simple vers a vêtements… en revanche, mourir de tes mains, c’est un peu te surestimer non ? Crois-tu que je sois devenu chef par mes conquêtes ou mes précieux massages ? Je le laissais reculer, passant un coup sur le bureau pour faire tomber à terre les papiers brûlé par notre échange de tout à l’heure…. En y pensant, sa va que j’ai pratiquement rien d’inflammable ici, on aurait été dans de sale draps sinon.

« Tous me petits loups sont précieux à mes yeux, chihuahua. »

Bon, c’était plus ou moins vrais… disons que le nombre est important, tous comme la puissance : en perdre, c’était s’affaiblir face aux autres clans, il valait donc mieux éviter. Je n’empêcherais sans doute pas le chiens d’en faire de certain de la chair a pâté, si il y arrive, mais il serait punis pour chaque mort par la suite…

Oh, ce n’était pas toujours aussi compliqué de recruter pour le clan, seulement, Morgan –oui, j’ai lu son nom avant de faire flambé le dossier- ne serait sans aucun doute pas du genre à rester sagement dans son coin, se serait un chieur, un bagarreur, un tueur…. Un peine, oui, mais a maintenir en laisse pour garder la paix, et pour sa, je devais m’en faire maitre… seul et unique maitre.

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