Premier soir (Privé, NC-16, Yaoi!)

Invité

Chaque coup de rein de Taki ne faisait qu'augmenter le plaisir du vampire qu'il ne put retenir alors qu'il sentait la semence chaude du démon le remplir. Cela avait fini par faire craquer Kalim qui se répondit aussi en quantité aussi bien sur lui même que sur Taki, il s'était bien retenu mais il ne pouvait plus maintenant et il ne quittait pas non plus les bras de son compagnon se sentant bien contre lui alors que son patron était toujours en lui. Puis Taki se mit à embrasser avec passion le barman puis finalement lui susurrer de douces paroles qui firent grand plaisir au vampire mais qui le firent rougir également. Il y répondit d'une voix un peu fatiguée mais comblée.

« Mes expressions elles ne sont là que pour toi...généralement je n'arrive à rien exprimer mais avec toi...c'est venu naturellement... Elles ne resteront qu'à toi à jamais. C'est la première fois...que mon bonheur et mon plaisir se retranscrit sur mon visage....»

Il se blottit un peu plus, avec aucun autre homme il n'avait affiché autant de son visage, même quand il prenait quelqu'un de temps en temps il restait impassible mais avec Taki impossible tout était plus que visible sur le visage du vampire qui était encore entrain de sourire heureux. Rien n'aurait pu venir gâcher ce moment si agréable alors que Kalim se blottit un peu plus à son aimé.

Décidément la soirée avait été bien chargée et se terminait bien dans les bras de l'homme que Kalim aimait depuis maintenant si longtemps. Il en oubliait presque la douleur de son dos à le sentir en lui sans bouger.

« Je t'aime... »

Dit il en enfouissant sa tête dans le creux de son cou comme s'il voulait toujours être plus en contact avec le démon de son coeur. Dans un sens Kalim avait peur de le voir disparaître et se volatilisé même s'il savait que ça ne serait pas le cas.

325 mots, 5 rubis

Alors qu’il me répondait, je l’observais. Ses rougeurs sur ses joues allaient merveilleusement bien avec la couleur sanglante de ses yeux et les mèches rubis perdu dans ses cheveux d’ébènes. Il était magnifique mon barman à moi, un vrai joyau. Mieux qu’une perle rare. Je devrais le kidnapper et l’enfermer dans un écrin de velours protéger par une cloche de verre et entouré de laser et de piège pour empêcher quiconque d’y toucher. Moi-même, je n’y toucherai que pour y passer un délicat coup de plumeau afin qu’il reste si étincelant…

Un vraie plumeau bande de cochon, ce n’est pas une métaphore là ! Bref, je me redresse en le gardant tranquillement dans mes bras, lui enlevant les bouts de verre et de bois alors qu’il m’avouait trois petits mots agréables, son visage blottit au creux de mon cou. Ah Kalim… mieux valais ne pas sortir se genre de mots ici bas. Je n’ai vraiment pas envie d’être l’arme dont il faut se servir pour te blesser là ou les poches de sangs et les soins ne font rien. Sans répondre, je stoppais les saignements en brûlants les plaies tout en lui caressants sensuellement la peau pour qu’il ne pense pas a la douleur. Ah, Kalim, regarde dans quel état ça te met de finalement t’ouvrir à moi ?

Ça me fait sourire en fait… pas du fait que tu te retrouve blesser mais pour le fait que tu y résiste pour moi. Rien que pour moi. Tu sais, j’en suis honoré, j’en suis flatté et j’en suis fière. Un peu comme un gamin qui ramène une bonne note à ses parents alors que c’est un cancre.

« Tu devrai boire un peu Kalim, tu as perdu trop de sang… »

Ce n’était pas la réponse à son je t’aime, juste une observation de son derrière… de son dos quoi.

310 mots, 5 rubis

Invité

Qu'il était bon de se retrouver dans les bras de l'homme pour qui son cœur bat, et ça peut important les blessures que l'ont porte. D'ailleurs à cet instant Kalim ne ressentait aucune douleur que du plaisir qui se montrait par un ravissant sourire à ses lèvres alors qu'il avait encore la tête dans le cou de son amant. Taki le redressa finalement afin d'enlever les débris de son dos et de cautériser les plais. Il ne broncha pas au soin il se contenta de ferme les yeux en sachant que c'était pour son bien. Il fallait dire aussi que le démon savait y faire pour occuper ses pensées à travers des caresses pour le soulager de sa douleur actuelle.

Le démon du feu lui fit une remarque sur le sang qu'il avait perdu ce qui lui fit se tourner à moitié pour regarder ses fesses, un liquide blanchâtre coulait mêlé à du sang. Ainsi malgré la préparation il avait été blessé ici pourtant il n'avait ressenti aucune douleur et encore maintenant. Merci au joie de l'endorphine pour cela. Finalement le vampire regarda son compagnon alors que son visage recommençait à être inexpressif petit à petit, pour l'instant il gardé des petites rougeurs qui lui donnaient un côté adorable.

« Je ...je n'ai pas eu mal pourtant au contraire. »

Kalim vint l'embrasser avant de se libérer de ses bras et de suivre son conseil pour aller chercher une poche de sang de sorcier qu'il était venu planquer ici plutôt dans la journée par précaution. Puis il revint dans les bras de son compagnon, le sang aller lui redonner des forces et guérir les éventuelles blessures plus profonde et aussi celle de son derrière.

Pour l'instant il n'avait pas envie de quitter les bras de Taki et rester contre lui en buvant. Il était vraiment heureux ce soir et c'était grâce à son patron et amant. Il lui caressa d'ailleurs le torse de sa main libre avec délicatesse.

328 mots, 5 rubis

Normal qu’il n’avait pas eu mal, j’étais un maitre en la matière, je savais donner douceur ou douleur celons mon envie ! Ah moins que quand il dise qu’il n’a pas eue mal, c’était une façon de dire qu’il a rien sentit ? Non, bien sur que non hein, j’étais bien battit puis vu ses expressions… Mais il pouvait aussi faire semblant non ? Non, bien sur, Kalim l’inexpressif serait incapable de faire ça… hein ?

Petit doute persistant quand il quitta mais bras –étrange, j’ai l’impression d’avoir froid d’un coup – pour aller récupérer une poche de sang. T’es tout mimi tout nu, semant ma semence sur ton chemin mon petit vampire, ça me donnerait bien envie de te croquer encore une fois. Je suis surpris de te voir revenir pour te blottir contre moi, me caressant légèrement le torse en te désaltérant. J’aime tes caresses, c’est doux, calme, simple… j’en ai pour preuve deux petites flammes aux tétons. Je viens l’enlacer puis déposer un baiser sur son front. Une autre aussi, dans le cou… finalement je lui remordis aussi l’oreille. Si tu savais a quel point j’aime ta présence, j’aime ton corps, j’aime ta peau, j’aime ton regard…

« Je t’aime… »

Petit murmure sincère sortit d’entre mes lèvres au fils de mes pensées. Murmure que je n’avais pas prévu de dire, pas là, pas de suite ! Je peux pas, je ne veux pas dire se genre de chose, j’ai déjà l’impression de me faire enchainer au sol en devenant aussi lourd que du béton rien qu’avec ses trois mots ! Faut que je trouve un truc pour lui faire oublier ça, vite !

Je récupère quasi aussitôt un bout de chemise que je lui mets sur la tête. Cache-toi ! Enfin, me regarde pas plutôt, rougir pour un je t’aime qui à fuit le cœur, sa se fait pas pour un démon de feu :

« Bon, le bar va pas fonctionner tout seul… faut aller bosser là ! »

333 mots, 5 rubis

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Kalim était bien ainsi à boire dans les bras de son patron, il se sentait en sécurité et au chaud, il n'avait pas envie de bouger à d'après les flammes aux tétons du démon du feu lui aussi était bien ainsi. Puis sentir ses lèves contres la peau, chaque baisés et mordillement au l'oreille était un pure plaisir pour le vampire qui ferma les yeux en arrêtant de boire sa poche de sang. Tout cela lui redonnait presque envie de recommencer leur folie alors qu'il sentait encore la semence couler de ses fesses sur le sol et contre ses cuisses. Mais une simple phrase fit rater un battement au cœur de Kalim, Taki venait de prononcer les trois petits mots qu'il rêvait d'entendre mais jamais le vampire n'aurait cru que ça arriverait aussi vite. Il porta un regard inexpressif sur son patron qui lui mit un bout de chemise sur sa tête en lui disant d'aller bosser.

Qu'il est mignon le chef des peines quand il rougit et qu'il est gêné, Kalim avait largement eu le temps de les voir ces rougeurs et il connaissait assez bien le démon pour savoir que s'il avait réagi ainsi c'était par gêne et pudeur donc la barman ne s'en offusqua pas, au contraire il trouva ça adorable et se mit à sourire à nouveau en se relevant.

« Tu as raison on aura tout le temps maintenant pour profiter l'un de l'autre. »

Il termina sa poche de sang et reprit son air inexpressif avec un naturel incroyable, il faut dire qu'il était toujours comme ça d'ordinaire. Kalim attrapa un chiffon et s'essuya les fesses et les cuisses pour finalement s'habiller avec les vêtements qu'il y avait dans l'armoire ça ferait largement l'affaire. Une fois habillé il alla à nouveau cueillir les lèvres de son patron en lui plottant les fesses avec énergie le rapprochant de lui.

« Je t'aime.»

Avait murmuré le vampire à l'oreille du chef des peines avant de la mordiller légèrement avec envie et de s'éloigner vers la porte.

« On se retrouve plus tard »

Il la déverrouilla et quitta finalement la pièce heureux finalement du déroulement de cette soirée.

362 mots, 5 rubis

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